… qu’avez-vous dégusté ce week-end?
En sortant d’un après-midi de bricolage, la récompense était O-BLI-GA-TOIRE! Au coin de la rue, un caviste-épicerie fine. Chez ce caviste-épicerie-fine, 3 espaces, un dédié au rouge, l’autre au blanc et le dernier aux moelleux. Et, au rayon rouge, une bouteille nous fait de l’œil. Un coteaux de loir… Ça fait tilt. La récompense n’est plus qu’à quelques stations de métro.
Le fauteuil, le verre à pied, l’opinel, un petit bout de saucisse sèche et pof! ouverture de la désirée.
A l’intérieur c’est fruité, légèrement épicé, soyeux et salivant, et d’une longueur appréciable. Seul petit défaut, une petite rudesse à l’ouverture (gaz carbonique… dû au transport sous terre?) qui s’évanouira une demi-heure après l’ouverture.
C’est très bon à boire, facile à déboucher et à placer sur une viande blanche (lorsqu’on n’apprécie pas les blancs), un plat en sauce ou sur une belle planche de charcuterie apéritive.
A l’intérieur de la bouteille on y retrouve le fruité gamay et… le cépage attendu à l’évocation de l’appellation, l’adorable pineau d’aunis.